Les passants es una canción de la cantante francesa Zaz. El tema, compuesto por la propia Isabelle Geoffroy y Tryss, aparece en su álbum de debut, titulado Zaz y editado en 2010.
Los que pasan
Zaz
Los que pasan van pasando
paso mi tiempo mirándoles pensar
sus pasos apresurados en sus cuerpos dañados
sus pasados se revelan en los pasos sin inquietarse
Que, suspicaz, desde mi otero observo el juego de Pan*
su cara, como máscaras me produce una impresión repugnante
que fingir
está de moda
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
El niño está hecho solo de fiestas
el hecho es que el efecto se muestra
en su capacidad de tomar el hecho como es
sin referirse
a un sistema de pensamiento en su cabeza
El otoño ya, era verano ayer aún
el tiempo me sorprende, parece que se acelera
las cifras de mi edad
me llevan hacia ese yo soñado
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
Cada mes se interpreta en ciclos diferentes
son divertidos estos remolinos
que me dirigen a través del tiempo de un estado a otro
oscilo sin poderlo evitar
en estos tiempos corro hacia el equilibrio
cada juicio a las personas me da la dirección a seguir
sobre cosas mías que cambiar
que me impiden ser libre
Las voces se liberan y se exponen
en las vitrinas del mundo en movimiento
los cuerpos que bailan en ósmosis
se deslizan, tiemblan, se confunden
y se atraen de forma irresistible
en estos tiempos corro hacia la expresión
cada emoción experimentada me da ansias de expresar los secretos
y que se haga justicia en nuestras pobres vidas adormecidas
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
* El dios griego Pan, del que procede la palabra "pánico". El juego de Pan, en este caso, haría referencia al pánico.
---------------- letra original (francés) --------------------
Les Passants
Zaz
Les passants passant
Je passe mon temps à les regarder penser
Leurs pas pressés, dans leurs corps lésés
Leurs passés se dévoilent dans les pas sans se soucier
Que, suspicieuse, à l'affût, je perçois le jeu de pan
Leur visage comme des masques me fait l'effet répugnant
Que faire semblant
C'est dans l'air du temps
Passe, passe, passera, la dernière restera
Passe, passe, passera, la dernière restera
L'enfant n'est fait que de fêtes
Le fait est que l'effet se reflète
À sa capacité de prendre le fait tel qu'il est
Sans se référer
À un système de pensée dans sa tête
L'automne déjà, c'était l'été hier encore
Le temps me surprend, semble s'accélérer
Les chiffres de mon age
M'amènent vers ce moi rêvé
Passe, passe, passera, la dernière restera
Passe, passe, passera, la dernière restera
Chaque mois se joue dans des cycles différents
C'est marrant ces remous
Qui m'animent à travers le temps d'un état à un autre
J'oscille inexorablement
Par les temps, je cours à l'équilibre
Chaque jugement sur les gens me donne la direction à suivre
Sur ces choses en moi, à changer
Qui m'empêchent d'être libre
Les voix se libèrent et s'exposent
Dans les vitrines du monde en mouvement
Les corps qui dansent en osmose
Glissent, tremblent, se confondent
Et s'attirent irrésistiblement
Par les temps je cours à l'expression
Chaque émotion ressentie me donne envie d'exprimer les non-dits
Et que justice soit faite dans nos pauvres vies endormies
Passe, passe, passera, la dernière restera
Passe, passe, passera, la dernière restera
Passe, passe, passera, la dernière restera
Passe, passe, passera, la dernière restera
Passe, passe, passera, la dernière restera
Passe, passe, passera, la dernière restera
Los que pasan
Zaz
Los que pasan van pasando
paso mi tiempo mirándoles pensar
sus pasos apresurados en sus cuerpos dañados
sus pasados se revelan en los pasos sin inquietarse
Que, suspicaz, desde mi otero observo el juego de Pan*
su cara, como máscaras me produce una impresión repugnante
que fingir
está de moda
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
El niño está hecho solo de fiestas
el hecho es que el efecto se muestra
en su capacidad de tomar el hecho como es
sin referirse
a un sistema de pensamiento en su cabeza
El otoño ya, era verano ayer aún
el tiempo me sorprende, parece que se acelera
las cifras de mi edad
me llevan hacia ese yo soñado
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
Cada mes se interpreta en ciclos diferentes
son divertidos estos remolinos
que me dirigen a través del tiempo de un estado a otro
oscilo sin poderlo evitar
en estos tiempos corro hacia el equilibrio
cada juicio a las personas me da la dirección a seguir
sobre cosas mías que cambiar
que me impiden ser libre
Las voces se liberan y se exponen
en las vitrinas del mundo en movimiento
los cuerpos que bailan en ósmosis
se deslizan, tiemblan, se confunden
y se atraen de forma irresistible
en estos tiempos corro hacia la expresión
cada emoción experimentada me da ansias de expresar los secretos
y que se haga justicia en nuestras pobres vidas adormecidas
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
pasa, pasa, pasará, la última se quedará
* El dios griego Pan, del que procede la palabra "pánico". El juego de Pan, en este caso, haría referencia al pánico.
---------------- letra original (francés) --------------------
Les Passants
Zaz
Les passants passant
Je passe mon temps à les regarder penser
Leurs pas pressés, dans leurs corps lésés
Leurs passés se dévoilent dans les pas sans se soucier
Que, suspicieuse, à l'affût, je perçois le jeu de pan
Leur visage comme des masques me fait l'effet répugnant
Que faire semblant
C'est dans l'air du temps
Passe, passe, passera, la dernière restera
Passe, passe, passera, la dernière restera
L'enfant n'est fait que de fêtes
Le fait est que l'effet se reflète
À sa capacité de prendre le fait tel qu'il est
Sans se référer
À un système de pensée dans sa tête
L'automne déjà, c'était l'été hier encore
Le temps me surprend, semble s'accélérer
Les chiffres de mon age
M'amènent vers ce moi rêvé
Passe, passe, passera, la dernière restera
Passe, passe, passera, la dernière restera
Chaque mois se joue dans des cycles différents
C'est marrant ces remous
Qui m'animent à travers le temps d'un état à un autre
J'oscille inexorablement
Par les temps, je cours à l'équilibre
Chaque jugement sur les gens me donne la direction à suivre
Sur ces choses en moi, à changer
Qui m'empêchent d'être libre
Les voix se libèrent et s'exposent
Dans les vitrines du monde en mouvement
Les corps qui dansent en osmose
Glissent, tremblent, se confondent
Et s'attirent irrésistiblement
Par les temps je cours à l'expression
Chaque émotion ressentie me donne envie d'exprimer les non-dits
Et que justice soit faite dans nos pauvres vies endormies
Passe, passe, passera, la dernière restera
Passe, passe, passera, la dernière restera
Passe, passe, passera, la dernière restera
Passe, passe, passera, la dernière restera
Passe, passe, passera, la dernière restera
Passe, passe, passera, la dernière restera
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